Ouvert exceptionnellement le 21 juillet de 10:00 - 18:00

Notre concept

L'origine des cafés à chat

Tout a commencé à Taïwan en 1998, avec l’ouverture du premier bar à chats du monde. Rapidement, il remporta un vif succès auprès des touristes japonais. Ce n’est donc pas une surprise que le pays qui a vraiment développé et diffusé le concept est le Japon, où le premier Neko Café (« Neko » signifiant « chat » en japonais) a ouvert ses portes en 2004, avec l’objectif de permettre aux Japonais de se déstresser au contact des animaux. En effet, il est très difficile au pays du soleil levant de posséder un animal de compagnie, car ils sont interdits dans l’immense majorité des logements locatifs. Les Japonais amoureux des animaux et débordant ou en manque d’affection ont immédiatement adoré ce concept, au point qu’il en existe maintenant environ 300 répartis dans les grandes villes du pays, dont plus de la moitié à Tokyo.

 

Si les bars à chats rencontrent autant de succès, c'est parce que le contact avec ces animaux s'avère apaisant. Les caresser, les câliner et les sentir ronronner permet d'augmenter le niveau de sérotonine (l'hormone du bonheur). Rien que le simple fait de les regarder jouer ou se prélasser agit comme un calmant. Il existe d’ailleurs des études scientifiques prouvant les multiples bienfaits de la « ronronthérapie » pour les humains comme pour les chats.

 

Depuis 2004, les bars ou cafés à chats ont essaimés un peu partout en Asie, et ont aussi réussi à enthousiasmer les autres continents. Aux Etats-Unis, il en existe une petite centaine, et une cinquantaine en Europe. En France, le premier café à chats a ouvert à Paris en 2013, et d’autres ont suivi depuis, tant dans la capitale qu’en province. Le concept reste toutefois nettement moins développé qu’au Japon, puisque la France ne compte guère plus d‘une dizaine de cafés à chat sur l’ensemble de son territoire.

Et le concept se propage en Belgique petit à petit depuis un dizaine d'année.

WhatsApp